Tu aimais ma langue remontant humidement le long de ta verge. Ta main dans mes cheveux tu me sentais te titiller
l’extrémité avant de faire le tour goulument de ton gland. Ne regrettes rien… penses seulement que demain se seront les couilles d’un autre que je goberais, sa queue que je pomperai, à pleine
bouche je le ferai durcir. Tes regrets apaisent ma colère. Ta jalousie apaise ma rancœur. Le sperme d’autres hommes étancheront ma soif de vengeance. Leurs jouissances seront l’échos de tes
soupirs de désolation. C’est sans regret que je quitte ma fidèle situation de sage petite amie pour redevenir une femme sensuelle, sexuelle, humide et vicieuse…
Tu regrettes? Pas ceux qui te succèdent…