Tes envies d'aurélie et mes envies de toi

Comme certains d’entre vous savent, et ont vu, j’ai redécouvert les plaisirs solitaires le week-end dernier.
Après un samedi soir sans baise pour raison de rupture, j’étais très tendue le dimanche. La colère me donne envie de chocolat et de sexe ! Alors après avoir grignoté, j’ai décrété une après midi jouissance, nudité, plaisir,… Presque un programme parfais. Et faute de male, je me suis satisfaite seule. Ne dit-on pas que l’on est jamais mieux servi que par soi même.
Bien sur, une queue des mains et une langue étrangères aident bien mais bon,…
Donc toujours en colère et frustrée de ne pas savoir quand j’en aurai à ma disposition, je me suis énervée puis excitée. Rien de telle pour ça que des petits jeux.
Tout d’abord, se mettre nue.
Ouvrir les rideaux du salon, pour aider le vis-à-vis hypothétique avec l’immeuble de l’autre coté de la rue.
Installer couettes et couvertures au sol ; Pour cela tourner le dos à la fenêtre pour bien tout étendre. En cette fin d’après midi,  il faisait beau, le soleil au rendez vous me mettait en lumière. Sous prétexte d’étirer les coins du couchage de fortune, je me suis mise à quatre pattes, commençant la séance, exposée, offerte, par terre. Comme pour beaucoup de femme, le fantasme d’être vu m’excite avant même que je me touche. Sans surprise, je sens mes reins se creuser, mes fesses se tendre, mes cuisses s’écarter et ma chatte s’humidifier, s’ouvrir. Pour faire monter le désir, j’ondule mon cul, toujours en l’air et je contracte mes cuisses et ma chatte en petits soubresauts.
Je glisse un coussin épais entre mes cuisses que j’écarte et je bouge mes reins pour doucement m’y frotter la chatte. Comme si elle cherchait la queue qui en sortirait, mes lèvres s’ouvrent à se contacte. Des trainés de mouille humidifient ce pale palliatif à mes envies.
Subitement je dégage le coussin pour me pénétrer de trois doigts profondément. Mes muscles se resserrent autour. Très vite je ressens un besoin de mouvement, de pénétration,… Je sens mon liquide chaud engluer mes doigts. Je m’agite, j’intensifie le mouvement et un premier petit orgasme me fait vibrer. Petit, trop petit. Mais le premier d’une longue série…

Le deuxième, je me le suis procuré en remettant la nuisette dans laquelle j’avais pris quelques photos de moi pour vous il y a quelques années. La nuit était tombée. Mon appareil photo à porter de mains, je vous ai écrit une newsletter. Pour les veinards inscrits, j’espère que les images ont plu !

Ven 13 avr 2012 Aucun commentaire