Tes envies d'aurélie et mes envies de toi

En cette après midi maussade, me voici à nouveau seule face à mon envie impérieuse de sexe… Après un long bain durant lequel je me suis caressée de la tête au pied, enveloppant mes courbes et mes creux d’un nuage de mousse odorante, je me suis enveloppée dans ma serviette, me demandant ou et comment j’allais poursuivre ce que je venais de débuter… Une douce après midi de caresses érotiques, de plaisir solitaire, de doux frissons et d’orgasmes à répétitions…

Il m’a fallu assouvir mes envies sans toi, ton absence me frustre mais je me refuse à rester ainsi insatisfaite… En voyant le tapis du salon, je me sens inspirée. Je laisse alors ma serviette glisser par terre et je marche nue vers le tapis au centre de la pièce. Malgré les voilages des fenêtres, j’espère que derrière ses vitres, un de mes voisins, vieux et seul, profite du spectacle. Je m’allonge sur le dos et commence à me caresser. Je m’expose, sans savoir si j’ai des spectateurs. Perpendiculaire à la fenêtre, j’écarte mes jambes faces aux vitres, sans trop les relever pour que l’on voit ma main titiller le bout de mes seins… Ils durcissent. La fraicheur de la pièce ne me rafraichit pas, mais je sens l’air entre mes cuisses, comme voulant sécher cette mouille qui humidifie ma fente, ou comme pour me pénétrer.

Ma main me frôle le haut du corps, revenant souvent sur mes seins, pendant que l’autre main descend vers ma chatte. Evitant volontairement mon clito, que je sens déjà durcie, j’approche mes doigts de mes lèvres humides, et je les écarte, sans en toucher l’intérieure. Ainsi écartée, ouvert, offerte, je sens que je me creuse, que je mouille, que je prépare un nid humide et chaud à ta queue qui ne viendra pas. A la pensée d’une bite dure qui me pénètrerait là, maintenant, sans avertissement, je me sens dégouliner le long de ma raie, vers mon anus… Jouant avec mes propres frustrations, je continu d’ignorer ma chatte et mon clito qui m’implore de les soulager. Mes doigts suivent le chemin de mes envies, s’humidifiant, pour venir caresser ma petite étoile. Dans un premier temps elle se resserre, mais je sens mon anus en demande, il suffirait de forcer un peu le passage…

Tous les trous en émoi, je me mets à genou, toujours face à la fenêtre. Dans ces moments la, je regrette souvent de ne jamais m’être résignée à acheter de godes. D’un coup, je me pénètre de trois doigts et mon bassin chevauche ma main, mais je sens que cela ne me suffira pas. Espérant toujours exciter un homme derrière sa fenêtre, je me caresse les seins de ma main humide et je me lèche un doigt mouillé, pendant que mon autre main me branle le clito. Comme souvent l’orgasme vient alors très vite, court mais foudroyant. Je me mords le doigt pour étouffer un cri rauque.

Tournant le dos à la fenêtre, je continu de me caresser la chatte, allongée sur le ventre, le cul tendu en l’air comme pour offrir mon anus…

C’est bon, déjà je sens revenir l’orgasme, plus léger, plus lent, mais tout en jouissance… Mon vagin se contracte, et quelques goutes de mouilles coulent entre mes doigts, toujours posés sur mon clito.

C’est bon… Il ne manque que toi…

Dim 6 déc 2009 5 commentaires
Comme tu sais bien occuper les moments de solitude !...
Comme tu t'en doutais, comme tu le souhaitais, tu as été vue... Je n'ai pas manqué une seconde de ce cette longue exhibition que tu m'as offerte : tu étais magnifique, et tellement excitante.
Comme j'ai aimé voir chez toi la montée du plaisir, puis tout ton corps se tendre sous l'orage de l'orgasme. Et quelle merveilleuse surprise de voir que tu ne cesses pas tes caresses, que ta nature voluptueuse te fait désirer encore les caresses de tes doigts. J'imagine le doux bruit mouillé qu'ils font dans ta chatte, les soupirs qui deviennent halètement quand le nouvel orgasme monte de ton ventre...
Depuis longtemps déjà, ma queue est raide et tendue, ma main va et vient sur elle, au rythme de tes doigts qui entrent et sortent de ton sexe offert. Enfin, pour ma plus grande joie, je vois ton corps se tendre, tes doigts se plonger au plus profond de ton intimité, ta main se crisper, et une nouvelle fois le plaisir déferle.

Tu restes quelques instants allongée sans mouvement, puis tu t'animes à nouveau. Je souris : cette jouissance était trop bonne pour que tu en restes là, et à nouveau tes mains partent reconnaître la douceur de ta peau, tandis que dans ma main, ma queue est plus raide que jamais, le gland gonflé par le désir que tu suscites... Mais je veux d'abord ne rien perdre du nouvel orgasme que tu vas m'offrir.
Frank - le 06/12/2009 à 22h30
j'ai beaucoup aimé cette histoire solitaire... je suis nouveau sur ce blog et j'écris aussi des histoires... ça me ferai très plaisir d'avoir ton avis... :)
l'artiste libertaire - le 07/12/2009 à 17h48
tu aimes te masturber, j'aimerais t'entendre gémir de jouissance et te voir vibrer, c'est tellement excitant de sentir cette émotion monter doucement puis plus rapidement, pendant que je te caresse les seins, avec main tu te fais jouir et avec l'autre tu me branles le sexe tout dur, petite coquine , jouis , jouis , jouiiiiiiiiis, crie encore plus fort, laisse toi aller ds le plaisir et les passants t'entendent et regardent par la fenêtre........
MAX
merci de m'envoyer ta newsletter , tu m'excites aurélie
max - le 04/02/2010 à 17h35
Très excitant! Merci
F&F - le 19/06/2010 à 09h18
Dimanche , je suis passé..
F&F - le 11/10/2010 à 20h56