Tes envies d'aurélie et mes envies de toi
Comme je vous le disais l’autre nuit, les auberges de jeunesse sont propices au flirt mais pas forcement à plus,
en tout cas pour moi, il me parait difficile de se lâcher avec une personne entouré de 6 autres dormant autour dans les lits superposés . D’autant que certains « coloc » sont à peine majeur. Même
si je fantasme d’une telle exhibition qui pourrait tourner à multiplier les joueurs autour de mon corps, je ne me permet pas de tels actes faces à des spectateurs non consentant. Mais sans aller
jusqu’à la baise public, certain ont du mal à gérer leurs envies. C’est ainsi que j’ai assisté bien malgré moi, mais avec un certain plaisir, à la branlette d’un jeune homme, genre premier de la
classe.
Je l’avais déjà repéré dans la salle commune. Il regardait les jolies filles de loin, mais jamais n’abordait des
personnes autres que les deux amis avec qui il voyageait. Je ne sais pas de quel pays ils venaient, ils ne parlaient pas français.
Après quelques verres, certaines filles faisaient leur show et mon colocataire de chambre semblait bavé rien que
devant quelques déhanchements subjectif sur la musique. Sans doute très peu expérimenté, il a passé la soirée assis à une chaise à mater.
Quand je suis allée me coucher, il ne manquait que lui dans le dortoir. Une demi heure plus tard, il est rentré.
Après un rapide passage dans la petite salle de bain adjacente, il est ressorti, habillé pour la nuit d‘un T-shirt difforme et d‘un caleçon. Acclimaté au noir de la pièce, je distinguais ces
détails du fait de la présence d'une veilleuse verdâtre au plafond qui contrecarrait les rideaux bien occultant ; cela permettant un couchage et un réveil échelonné des personnes sans
allumer le dortoir pour réveiller les autres.
Je voyais donc mon jeune inconnu. A ses gestes je compris qu’il regardait autour de lui essayant de voir si tout
le monde dormait. Je cessais donc de le regarder quelques instants, sans bouger. Puis j’entendis le zip de son duvet. Le nylon se froissait à chaque mouvements. Au début, rien ne se passa puis
j’entendis des frottements réguliers. Avec mes idées souvent malles placées (plus exactement placées sous la ceintures), je me suis vite imaginée qu’il se branlait. La curiosité et l’excitation
m’obligèrent à essayer de regarder. Sans doute incommodé par le bruit que ses mouvement faisaient faire au tissus, je le vis ressortir une jambe par l’ouverture, et soulever d’une main la partie
supérieure de son sac de couchage. De l’autre main, la droite comme beaucoup, je le vis agiter « quelque chose ».
Dans cette position, je ne voyais pas son sexe et son duvet n’émettait plus les sons de son agitation. Mais sa
respiration parfois retenu, son pied tendu, son corps crispé et ce bras qui disparaissait vers l’objet de son plaisir ne laissait aucun doute…
Ce voyeurisme m’excitait. Je glissais à mon tour une main sous mon drap… Bien plus discrète que lui, je crois
aujourd’hui que s’est mon regard insistant qui m’a trahit…
(à suivre…)
de rien...
Miam, ça donne envie ;)
C'est fait pour ;)
Petite perverse ;) Si ça aurait été moi et que j'arais su que tu me regarde, sache que je me serais arranger pour que tu puisse bien voir mon sexe ;)
j'aurais aimé ça !
Merci pour ces beaux récits tres excitants