quand mes doigts caressent le clavier...

Vendredi 18 juin 5 18 /06 /Juin 00:47
- Publié dans : quand mes doigts caressent le clavier...

Ce soir, avant de m’endormir, j’ai eu envie d’apaiser mes sens sensuellement. Je me suis donc dévêtue totalement et glissée nue sous la couette. J’aime la nudité au creux de mon lit. J’aime bouger un peu, sentant les draps caressant ma peau. Dans le noir, mes mains se mettent à explorer mon corps que je connais maintenant si bien. J’aime alors me redécouvrir.  Je commence souvent par la poitrine, quelques effleurements, mais elle réagit bien mieux aux lèvres d’un amant cueillant la pointe de mes seins. Je descends plus bas, mes effleurements attisant quelques doux frissons. Mes tétons se dressent, j’ai la chaire de poule. J’aime écarter largement mes cuisses et mes fesses, sans encore me toucher mais pour sentir l’air s’engouffrer vers mes puits de plaisir. La fraicheur qui parfois s’engouffre dans mon lit au gré de mes mouvements contraste avec la chaleur qui émane de mon corps, et ne refroidit en rien les premiers émoies attisés par mes caresses et mes idées sensuelles.

Lorsque vient le moment de me caresser les zones encore plus érogènes, j’aime poser ma poitrine contre le matelas, ramener mes genoux vers mon ventre et glisser mes mains sous mon corps. Mon bassin se tend alors en arrière ; s’offrant à un amant absent, mes fesses s’écartent, mes lèvres s’ouvre, je suis ouverte, en attente, en demande, pleines d’envies, de passion…

Alors, lorsque mes doigts rencontrent mon intimité, je suis déjà humide et accueillante. Je sens en moi la place faite au désir par le besoin d’un sexe… Je sais que mes doigts ne me comblerons pas à l’intérieure, mais ils jouent avec mon clitoris qui s’épaissi, durci, bande.

Déjà, je coule un peu le long de mes doigts, je sens quelques secousses. Ma main passe entre mes jambes, remonte vers mon anus. Cela m’oblige à me cambrer encore plus, à me soumettre à mes vices, seule, en attisant moi-même un manque et une attente que seule une bite endurante pourrait vraiment combler.

Mon anus se contracte quand mes doigts effleurent ainsi ma petite étoile. Seule je ne m’aventurerai pas dans cette voie mais je sais que cette résistance se laisserait franchir si on voulait me découvrir ainsi.

Après tout va très vite, mes doigts reviennent entre mes lèvres pour branler mon clitoris, aider par la mouille qui recouvre cette zone si sensible et chaude. En peu de temps, malgré l’absence de cet amant derrière moi, un orgasme me saisit, petit mais prémices d’une longue série…

Probable que cela ne me suffise pas mais la nuit est encore longue et tant pis pour le réveil !

 

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Lundi 7 juin 1 07 /06 /Juin 00:28
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En ce tout début de saison, le camping n’était pas complet, de nombreux emplacements étaient vides. La chaleur de la journée poussait les gens à profiter de la fraicheur pour aérer tentes et caravanes. Toujours émoustillée par ma séance de voyeurisme, je me dirigeais vers la douche, excitée à l’idée de me laisser aller sous un jet d’eau chaude. J’espérais secrètement qu’il y aurait des adultes dans le bloc sanitaire pour rendre mes caresses plus excitantes par la crainte d’être entendu ou que l’on comprenne l’aspect crapuleux de ma douche tardive.

Mais en passant devant une caravane, je remarquais que deux ados pouffaient en regardant par une fenêtre. En me voyant passer dans le chemin, ils partirent. Intriguée, je ralentie le pas pour jeter un regard à l’intérieur. La fenêtre était entrouverte mais, bien que la télévision semblait allumée, je m’étonnais qu’aucun son ne me parvienne. C’est en m’arrêtant que j’ai constaté que le film regardé sans son  était un porno.

Continuant ma soirée  voyeurisme, je me suis faufilée sur le coté de l’emplacement, quittant le chemin, pour me retrouver au bout de la caravane.  Voyant mieux à l’intérieur, sans être vu, j’ai constaté qu’un homme était assis contre la paroi. Je ne voyais que ses jambes et parfois sa main et son sexe. Il se branlait. Colée contre la même cloison, j’entendais son souffle saccadé, parfois retenu. Sur notre gauche, le film, sans son (sans doute à cause de la fenêtre ouverte), montrait une femme prise en gang-bang. J’étais surtout excitée par l’homme et son plaisir solitaire.

Je bougeais le moins possible, regardant de temps à autre si personne ne passait dans le chemin que j’empruntais précédemment. Après l’une de ces vérifications, mes yeux revinrent vers la fenêtre.

J’ai sursauté. Face à moi, l’homme regardait par la fenêtre. Les yeux dans les yeux, je ne sais pas lequel était le plus surpris, effrayé, honteux…

Que faire ? Fuir ? Partir tranquillement comme si de rien était ? Parler ? Mais pour dire quoi ? Toutes ces questions s’entrechoquaient dans ma tête. Mais une fois l’effet de surprise passé, j’ai décidé de reprendre les choses en mains.

J’aurais alors pu partir, il était honteux, mais calmé…

En disant cela, mon regard et mon sourire devait refléter le vice car, si sa gène s’accentua, je senti que son excitation revenait.

Devant cette proposition aussi inattendue qu’imprévisible, il ne sut quoi répondre.

Vous me connaissez, plus je domine une situation, plus je deviens entreprenante.

Montant sur l’attelage et glissant ma main par la fenêtre, je me suis mise à caresser des doigts sa queue déjà au bord de l’explosion en lui disant « qui ne dit mot consent… tu m’ouvre la porte ? »

C’est ainsi que je me suis retrouvée dans cette caravane avec cet inconnu.

Il ne fallut que quelques caresses de la langue pour qu’il explose. Mais ce n’était que le début.

Mon nouvel amant était un homme un peu bedonnant mais plutôt bien proportionné. Ses cheveux étaient brun, parsemés de quelques cheveux blancs. Il avait une quarantaine d’années et était ici pour travailler sur un  chantier durant plusieurs semaines. Le temps qu’il reprenne vigueur, nous échangeâmes quelques mots et de nombreuses caresses. Il était obnubilé par ma poitrine, que tantôt il suçait précautionneusement, tantôt il malaxait. Ondulant, assise à califourchon sur ses jambes étendues, je mimais un chevauchement pour redonner vie à sa queue.

Lorsque je voulu le reprendre en bouche, j’ai constaté que le film se diffusait toujours. Une autre scène se déroulait, nous exposant un 69 entre deux hardeurs.

D’un regard, je lui proposais de faire de même. Je finis donc d’ôter mes vêtements rapidement. Bien que pas très habile de la langue, mon amant nu aucun mal à continuer d’attiser l’excitation qui me tenaillait depuis plus tôt dans la soirée. Dés que sa queue repris de la raideur, je dérobais ma chatte à  sa bouche pour enserrer mes seins autour de son membre et le faire durcir un maximum. Rien que la position, sans doute jusqu’à ce jour seulement fantasmée, donna à sa queue la dureté d’une trick prête à baiser. J’aimais son souffle retenu, saccadé. Il fermait les yeux. Sa jouissance précédente me permettait d’espérer qu’il tiendrait suffisamment de temps pour calmer mes palpitations que je sentais s’accélérer entre mes jambes.

Tendant une main vers ma trousse de toilette, je l’ouvris pour en sortir une capote que j’enfilais à ma nouvelle partenaire de jeux. A ce moment là, mon désir était purement égoïste, je me sentais couler d’envie de prendre une queue en moi.

A califourchon sur mon amant, j’ai très vite imposé mon rythme, préférant de plus grandes aller et venus pour bien me sentir pénétrer, sentir cette queue me caresser le vagin… Accélérant, je sentis que j’allais perdre mon nouveau jouet. Bien que mal rassasiée, je décidais d’être plus charitable. Je l’ai donc autorisé à exploser sur mes seins qui le faisaient tellement tripper.

Puis essuyant mon torse contre le sien et échangeant un long baiser, je lui dis au revoir. Me rhabillant, je fis demi-tour et je suis retourné sous ma tente. Mes compagnons de voyage semblaient endormis. L’odeur de sexe encore présente sur mon corps, mon tee-shirt collé par des restes de sperme, je me suis tranquillement apaisé les sens en terminant manuellement ma soirée !

Bien que ce ne fut pas la nuit la plus mémorable coté sexe, le simple fait de faire cela avec un parfait inconnu, sans préambule, dans un lieu presque public nécessitait bien de venir vous en parler. Qu’en pensez-vous ?

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Dimanche 30 mai 7 30 /05 /Mai 02:32
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Bonsoir ou bonjour,

Me voici à nouveau devant mon clavier pour partager et prolonger avec vous ma fin de soirée. Il faut dire que cette soirée a été plutôt chaude. Mais avant de vous en parler (si vous n’êtes pas trop sage !), il faut d’abord que je vous parle de mes quelques jours de vacances en camping.

En effet, ce soir a été l’occasion de retrouver un homme que je pensais ne jamais revoir, après l’avoir vu, sentie, toucher de très, très près il y a peu de temps.

A l’occasion d’un week-end prolongé, j’ai eu l’opportunité de partir avec un couple d’amis a qui un autre couple avait fait faux bonds au dernier moment. Ayant loué un emplacement pour 2 tentes, ils me proposèrent de partir en camping au bord de la mer.

Bien que me connaissant de longues dates, de nombreux éloignements dus à nos études et carrières respectives, ont fait qu’ils ne savent pas vraiment à quel point le sexe tient une place importante dans ma vie, encore moins mes aventures en période de célibat. Ce n’était donc pas un week-end torride qui s’annonçait mais plus bien-être, farnienté, rigolade et longues discussions pour refaire le monde. Et cela m’allait très bien.

Après quelques heures de routes qui passèrent vite malgré la circulation, nous sommes donc arrivés. Je vous passe les détails de la première journée (je sais que ce ne sont pas ceux qui vous intéressent le plus ;) !). Disons seulement qu’on a visité, on s’est promené sur la plage, on a installé notre campement, on est allé au restaurant puis boire un verre…

Tard ce soir la, ils sont allés dans leur tente et moi dans la mienne. La journée avait été chaude (je parle météo !) et la chaleur sous la toile était encore très, voir trop, présente pour permettre de s’endormir calmement. C’est donc un livre à la main, à côté de ma lampe torche, que je me suis installée en attendant, igloo ouvert, que l’air circule mieux. D’où je me trouvais, je pouvais voir par l’ouverture de ma tente celle de mes amis. Je ne fus pas surprise de voir que comme moi, ils avaient laissé l’entrée ouverte, seule la chambre intégrée semblait fermée et d’elle se diffusait une lumière allumée.

C’est alors que je me suis intéressée aux ombres chinoises que leur lampe projetait sur leur toile. Un corps assit, sans doute celui de mon amie, ondulait d’avant en arrière. Je compris rapidement qu’elle devait chevaucher son compagnon. Des mains apparurent d’en bas, remontant le long du corps et empoignant chaque sein. Curieuse mais gênée de les observer, mon grand regret, presque inavouable, était de ne pas entendre les sons, les gémissements, les mots qui devaient accompagner leurs caresses.

Cela ne dura que peu de temps, mais suffisamment pour m’émoustiller. Bien que je mourais d’envi de me caresser, je ne trouvais pas mon vieux matelas gonflable adapté. Je décidais donc d’aller prendre une douche dont j’ai le sensuel secret… mais contre tout attente, je ne suis jamais arrivé à la douche et, bien qu’assouvie, mes envies ne furent pas solitaires…

Mais ceci est une autre histoire que je vous conterais plus tard si vous le souhaitez… A vous de demander !

Communauté : Histoire érotique
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bienvenu

bonsoir,

Aout 2017,

Après des années, je me reconnecte à mon ancien blog.

Toujours chaude et excitée par l'envie de t'exciter, je me suis dis qu'un petit coucou s'imposait!

C'est avec plaisir que je partagerais avec toi une liaison erotique virtuelle, si tu en as envi.

A ta queue, à tes mots, à tes photos... tu sais ce que j'aime

Je réouvre la ligne du plaisir : envidaurelie@hotmail.fr


Viens, je t'attend

Aurélie

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  • : Tes envies d'aurélie et mes envies de toi
  • Tes envies d'aurélie et mes envies de toi
  • : Amateur
  • : Je suis une jeune femme de 36 ans. J'aime vous faire part de sensations par le biais de mes mots et si cela vous touche, ou vous durcit, faite le moi savoir dans vos commentaires, vos mails et leurs pièces jointes... je vous attends humidement
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  • Je suis une jeune femme de 35 ans. Comme beaucoup, j'ai découvert la pornographie sur internet. Je suis surtout friande des hommes qui aiment me lire... et bien plus encore !
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