Dimanche 29 avril
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15:01
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Publié dans : quand mes doigts caressent le clavier...
Hier soir, je suis sortie avec des amis dans un bar. Petite robe grise, bottes et collant, j’étais plutôt
habillée pour draguer, tant pis pour le froid humide.
Je me suis félicité de ce choix quant en entrant dans le bar quelques hommes se sont retourné. Croisant le regard
de l’un d’entre eux, mon ex, j’ai su que la soirée promettait d’être pimentée.
Dans un coin du bar, une petite piste de danse invitait au zouk. Laissant sur la table mon mojito, je suivis mon
groupe d’amis sur la piste. Me sachant observé, je me suis lâchée. De bras en bras, je changeait de cavaliers. Des mouvements de hanches langoureux contre le corps de mes partenaires mimaient la
passion et avaient tendance à faire remonter ma robe le long de mes cuisses.
Au bout d’un petit quart d’heure, mon observateur s’est invité dans la danse. Pour l ‘éviter, je me suis
d’autant plus serré contre un autre. Se frottant dans mon dos, je me trouvait entre deux corps d’homme lorsqu’il glissa à mon oreille « à peine célibataire, tu rejoue ta salope! ». Plus
vexé qu’excitée par cette remarque, et frustrée depuis notre rupture, j’ai décidé de le prendre aux mots.
Un petit sourire aux lèvres, je lui ai murmuré « tu ne crois pas si bien dire! » et, le prenant par la
main, je l’ai entrainé vers les toilettes. « attend moi là », lui ai-je dis en m’enfermant dans la cabine. Il ne s’agissait pas de lui offrir mon corps, sans rien exiger, mais de lui
prouver que je pouvais pousser loin le jeu qu’il me reprochait.
En ressortant, les jambes nues après avoir ôté mes collants, je les ai glissé dans sa poche de veste et je l’ai
laissé là, intrigué, me regardant repartir sur la piste de danse.
Faignant de l’ignoré, j’ai donc repris lascivement mon déhanchement, tantôt seul, tantôt
accompagnée.
Je jubilais de sa réaction lorsqu’il réaliserait qu’il n’avait pas que mes collants mais aussi mon tanga en
poche.
Lorsqu’il se réinstalla à sa table, sans me quitter des yeux, avec un regard hésitant entre colère et
frustration, j’ai su qu’il savait.
Excitée par mon audace et ma nudité intime mais un peu gêné que cela puisse se remarquer, je suis retournée vider
mon verre.
Je voulais exploiter mon envie attisée par l’excitation frustrante que j’avais du causer chez
lui.
Le sachant toujours attiré par moi malgré notre séparation, C’est donc un nouveau jeu qui me vint en
tête…
J’allais le faire jouir, sans lui donner accès à mon jardin secret…
Je sais, je suis un peu perverse, mais promis, je me soigne !
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Jeudi 15 décembre
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00:12
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Publié dans : quand mes doigts caressent le clavier...
Seule à l'hôtel pour assister à une formation professionnelle, je fantasme en attendant
qu'un inconnu frappe à ma porte pour me baiser passionnément !
Peu m'importe pourquoi il est venu, ni comment il a su que j'attendais un amant mais il est
la.
Ce n'est pas un hasard, il bande déjà. Il n'est là que pour ça. Dans son regard je ne vois que
désir et virilité. Je l'attendais humide et en manque et il va me posséder comme telle... une salope sans résistance devant une queue dure!
Je ne maitrise rien, je le comprend vite. Il me veut, à sa façon, à son rythme... et ce sera
"quicky"!
Il regarde ma main droite, et remarque l'humidité de mes doigts qui s'activaient dans ma chatte
quelques minutes avant. Pourquoi je ne suis pas étonnée de sa venu si je ne l'attendais pas vraiment? mon fantasme ne le dis pas.
Mais en constatant que j'ai commencé seule, il ricane, m'ordonne de me dessaper et de lui
montrer où j'en suis.
Rapidement nue, il me fait me pencher en avant, et me doigte sans hésitation, constatant qu'un
rien me fait jouir et que je suis prête à l'accueillir.
Sur ce, il baisse sa braguette, sort sa grosse queue déjà gonflée et me dit de le préparer à me
baiser. Sa main emmêlée à mes cheveux accompagne en même temps ma tête à venir sans retenue le prendre en bouche. Même en le suçant, ce n'est pas moi qui maitrise. Il m'impose un rythme et une
pénétration qui m'asservit au rang de trous sexuels...
Soumise volontaire, je me laisse abaisser et telle une pute j'exécute son bon
plaisir.
Lorsque ma bouche ne le satisfait plus, il la délaisse, "jusqu'à ce qu'il y ai à lécher" me
dit-il.
Lâchant ma tête, en quelques pressions, il me positionne de dos, les mains sur le lit, les
jambes un peu écartées, et deux trous ouverts à ses envies.
Pour assurer son bien être, il ré-ouvre le passage à coup de doigts énergiques dans ma chatte
puis, sans prévenir, y présente son gland et s'enfonce de toute sa longueur. Sous le plaisir et le choc, mes coudes se plient, ma tête se rapproche du lit et mon cul est d'autant plus offert à
mon amant.
C'est donc sans surprise mais aussi sans préparation qu'il m'encule
ensuite.
A ses râles qui entrecoupent ses insultes et ses encouragements pervers mais excitant, je sais
qu'il ne va pas tarder à jouir.
Il sort de mon anus et me pousse sur le lit. Je me retourne vers lui et je comprend qu'il veut
terminer en m'en mettant partout.
En bonne salope d'un soir, je cambre vers lui visage et poitrine et j'accompagne ses jets de
sperme par des gémissements;
Je me masse avec sa semence et je lui nettoie la queue à coups de
langue.
Sur ce, il se reculotte et me dit de me tenir prête tout les soirs de la semaine, si l'envi lui
prend de revenir « tirer sa chienne du moment« ...
Je sais déjà que je l'attendrai chaque soir, humide et impatiente.
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Lundi 12 décembre
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19:19
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Publié dans : quand mes doigts caressent le clavier...
Ce soir, je me laisse faire… un peu docile, soumise à mon plaisir, je te laisse me le
donner…
Sans fioriture, une nuisette très classique, rehaussant mes seins comme pour te les offrir, des bas mais pas de
culotte pour te montrer que tu es en terrain conquis.
Ma vue t’excite.
Tu te déshabille.
D’un froncement de cils je te fais ralentir.
Mon plaisir commencera par te voir.
D’un regard, tu acceptes le défi.
Lentement tu me dévoiles ton corps.
J’en connais chaque parcelles, je t’ai touché, senti, léché partout depuis que nous sommes
amants.
Ta chemise et ton pantalon volent, je m’en désintéresse déjà.
Pour ne pas toujours fixer ta virilité sous ton boxer, je regarde tes yeux.
Eux aussi m’inspirent du désirs.
Nu, debout, dure et tendu, tu me regarde.
Sans mot, pour t’indiquer le chemin de mes envies, je fais glisser mes doigts de ma bouche entrouverte à ma
gorge. Puis de mes seins à mon ventre. Lentement mais sans hésitation, je poursuis leur descente jusqu’a mes hanches et mes cuisses puis les fait remonter sur mon sexe. Je m’ouvre en m’écartant
les jambes.
Offerte je t’attend.
Tu ne te fais pas prier.
Tes mains remontent le long de mes jambes, tes lèvres suivent leurs traces. De la bouche tu écartes mon sexe pour
chercher directement mon clitoris déjà bandé.
Tu l’embrasse puis le délaisse pour explorer l’entrer de mon intimité. A pleine bouche tu semble me donner un
baiser passionnel, je me sens me liquéfier sous tes assauts et m’ouvrir à toi.

Comme si je craignais que tu n’arrêtes là ce supplice divin, mes doigts se saisissent de tes cheveux pour
t’accompagner, t’orienter, te retenir…
Un premier orgasme me saisit mais ne diminue en rien mon besoin de toi.
Comme grisée par cette première victoire, tu remontes à coup de baisers et de caresses le chemin emprunté plus
tôt par mes doigts. Au passage tu dégrafes le haut de ma nuisette qui s’écarte pour te dévoiler mon ventre et mes seins.
Sans gène je m’offre.
Après avoir parcouru une partie de mon corps, tes lèvres dominatrices prennent possession de ma
bouche…
Tes mains elles, t’emballent en prévision de la suite.
Je ne t’ai presque pas touché, pourtant tu mets fin à ces préliminaires, sans rien exiger de moi que cette
sensuelle inactivité.
D’un coup, sans résistance, tu pénètres ce sexe que tes lèvres ont rendu insatiable.
Tu es chaud, dur, comblant en mon sein, et là encore je t’encourage et te retiens. Mes jambes enserrent tes
hanches, mes mains tes fesses.
Au comble d’une nouvelle jouissance, je gémi à ton oreille des mots que moi-même je ne comprend pas mais qui
influent le rythme de notre fusion.
Déjà je m’envole, quand je te sens toi aussi rendre les armes et fondre en moi.
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