TES ENVIES D'AURELIE ET MES ENVIES DE TOI
Ce blog a vocation à accueillir mes textes érotiques. En effet, en plus du plaisir
du sexe, j'ai découvert depuis quelques années déjà le plaisir de partager mes expériences, mes envies et mes fantasmes sur la toile pour entrer en contact avec des hommes qui, comme moi, aime
échanger et partager.
Ici vous trouverez mes écrits, mes anecdotes, souvent réelles, parfois fantasmées, toujours jouissives.
Je me présente. Je suis une jeune femme de 36 ans, aimant la vie et ses plaisirs, notamment sexuels! Je ne recherche pas de rencontre réelles, quoi que l’on ne sait jamais, mais plutôt des échanges, connaitre vos réactions à la lecture de mes textes, entendre vos sujétions, constater votre excitation, publier vos participations (si vous le souhaitez)… ! Ce blog a déjà 5 ans et je ne l'alimente presque plus (sauf période de manque et de célibat ;) ) mais l'intérêt est de rester en contact avec des hommes qui veulent m’inspirer, m’exciter, se montrer à moi,…
sur envidaurelie@hotmail.fr
A tout de suite...
J’étais excitée de le voir tendu de tout ses membres, les deux mains sous les draps, l’une pour le soulever et
empêcher le frôlement, l’autre pour se branler énergiquement. Il veillait sans doute à ne pas gémir mais sa respiration souvent retenu puis étouffé dans l’oreiller sur le côté montrait la vigueur
de son envie et sans doute sa crainte d’être surpris.
Se tournant pour reprendre sa respiration dans l’oreiller, je su à son regard surpris qu’il avait découvert mon
voyeurisme. Trop engagé dans son plaisir, il n’a pas pu stoppé mais me regardait craintif, presque apeuré. Que je l’apostrophe en réveillant les autres?
Moi, toujours excitée, et beaucoup moins inquiète que lui, je décidais de jouer le tout pour le tout. J’ai
soulevé mon drap du genou pour qu’il devine que je m’adonnais aussi au plaisir solitaire. Je sentis sa masturbation prendre une accélération sans retour et, comme pour l’encourager à jouir, j’ai
approché mes doigts humides de mes lèvres, lui offrant un fantasme vivant et sensuel.
Le jeune homme n’a plus rien retenu et en eu vite finit. D’un regard coquin, je lui ai soufflé un bonne nuit dans
un murmure et j’ai tranquillement poursuivit mon escapade manuelle entre mes cuisse.
Sentant son regard sur moi, en veillant à ne pas en attiré d’autre, je me suis surprise à volontairement le
laisser surprendre une cuisse, une fesse, un sein,…
Il a du faire de beau rêve, et je me suis fais plaisir à lui inspirer !
Comme je vous le disais l’autre nuit, les auberges de jeunesse sont propices au flirt mais pas forcement à plus,
en tout cas pour moi, il me parait difficile de se lâcher avec une personne entouré de 6 autres dormant autour dans les lits superposés . D’autant que certains « coloc » sont à peine majeur. Même
si je fantasme d’une telle exhibition qui pourrait tourner à multiplier les joueurs autour de mon corps, je ne me permet pas de tels actes faces à des spectateurs non consentant. Mais sans aller
jusqu’à la baise public, certain ont du mal à gérer leurs envies. C’est ainsi que j’ai assisté bien malgré moi, mais avec un certain plaisir, à la branlette d’un jeune homme, genre premier de la
classe.
Je l’avais déjà repéré dans la salle commune. Il regardait les jolies filles de loin, mais jamais n’abordait des
personnes autres que les deux amis avec qui il voyageait. Je ne sais pas de quel pays ils venaient, ils ne parlaient pas français.
Après quelques verres, certaines filles faisaient leur show et mon colocataire de chambre semblait bavé rien que
devant quelques déhanchements subjectif sur la musique. Sans doute très peu expérimenté, il a passé la soirée assis à une chaise à mater.
Quand je suis allée me coucher, il ne manquait que lui dans le dortoir. Une demi heure plus tard, il est rentré.
Après un rapide passage dans la petite salle de bain adjacente, il est ressorti, habillé pour la nuit d‘un T-shirt difforme et d‘un caleçon. Acclimaté au noir de la pièce, je distinguais ces
détails du fait de la présence d'une veilleuse verdâtre au plafond qui contrecarrait les rideaux bien occultant ; cela permettant un couchage et un réveil échelonné des personnes sans
allumer le dortoir pour réveiller les autres.
Je voyais donc mon jeune inconnu. A ses gestes je compris qu’il regardait autour de lui essayant de voir si tout
le monde dormait. Je cessais donc de le regarder quelques instants, sans bouger. Puis j’entendis le zip de son duvet. Le nylon se froissait à chaque mouvements. Au début, rien ne se passa puis
j’entendis des frottements réguliers. Avec mes idées souvent malles placées (plus exactement placées sous la ceintures), je me suis vite imaginée qu’il se branlait. La curiosité et l’excitation
m’obligèrent à essayer de regarder. Sans doute incommodé par le bruit que ses mouvement faisaient faire au tissus, je le vis ressortir une jambe par l’ouverture, et soulever d’une main la partie
supérieure de son sac de couchage. De l’autre main, la droite comme beaucoup, je le vis agiter « quelque chose ».
Dans cette position, je ne voyais pas son sexe et son duvet n’émettait plus les sons de son agitation. Mais sa
respiration parfois retenu, son pied tendu, son corps crispé et ce bras qui disparaissait vers l’objet de son plaisir ne laissait aucun doute…
Ce voyeurisme m’excitait. Je glissais à mon tour une main sous mon drap… Bien plus discrète que lui, je crois
aujourd’hui que s’est mon regard insistant qui m’a trahit…
(à suivre…)
bonsoir,
Après des années, je me reconnecte à mon ancien blog.
Toujours chaude et excitée par l'envie de t'exciter, je me suis dis qu'un petit coucou s'imposait!
Sur mon blog et/ou par mail, c'est avec plaisir que je partagerais avec toi une liaison erotique virtuelle, si tu en as envi.
A ta queue, à tes mots, à tes photos... tu sais ce que j'aime
Je réouvre la ligne du plaisir : envidaurelie@hotmail.fr
Viens, je t'attend
Aurélie